La styliste Christine Kendall attaque la maison Alexander McQueen pour contrefaçon à propos de la robe que portait Kate Middleton pour son mariage avec le prince William en 2011.

Alexander McQueen visé par une plainte pour contrefaçon

Le 29 avril 2011 à Londres en l’abbaye de Westminster était célébré le mariage entre Catherine Middleton et le prince William, duc de Cambridge. Kate la roturière devenait ainsi duchesse de Cambridge.

A cette occasion, Katie portait une robe de haute couture dessinée par la marque Alexander McQueen.

Cette robe de satin ivoire possède une traine en dentelle de trois mètres qui était soutenue par les délicates mains de sa soeur Pippa Middleton, dont le grand public fera la connaissance et dont le popotin fera le tour du monde.

Cette robe est officiellement dessinée par Sarah Burton, directrice artistique de la maison Alexander McQueen.

Le 29 avril 2016, soit à la date anniversaire des cinq ans de la célébration du mariage, nous apprenons du Daily Mail qu’une procédure pour contrefaçon a été introduite par Christine Kendall, créatrice de robes de mariées.

Christine Kendall, créatrice de robes de mariées

Christine Kendall a déposé une plainte auprès de l’INPI anglais afin de faire valoir ses droits. Sa plainte auprès de l’Institut de la propriété intellectuelle de Londres est appuyée par un récit troublant.

Elle aurait proposé des croquis de robes de mariées au Palais d’Angleterre fin 2010 en vue du mariage de Kate et William. Le retour du palais aurait été enthousiaste et on lui aurait indiqué que Kate avait particulièrement apprécié son travail. Finalement aucune suite ne sera donnée.

Parmi ces robes, une d’entre elles était inspirée d’un modèle des années 1950 et ressemblerait beaucoup à celle que portait Kate Middleton lors de son mariage. Christine Kendall estime aujourd’hui que son croquis a été contrefait et que ses droit intellectuels sur la propriété n’ont pas été respectés.

La maison de haute couture Alexander McQueen a totalement démenti un quelconque acte de contrefaçon et juge les accusations ridicules.